top of page

La mer au bout d'une rue, des façades à l’abandon. D'un coin de rue, une carcasse de voiture des années 50 se traîne dans un long râle, mais elle roule toujours, comme au premier jour. Un écriteau posé sur le tableau de bord annonce le taxi. Son chauffeur, un bras par la fenêtre fume un bout de cigare. Tout les clichés ou du moins l'univers que l'on peut imaginer est présent. Il est bien vivant. Et malgré l'esthétisme des années passées, la Havane  et toute l'île souffre également au quotidien. La souffrance d'une révolution utopique qu'on aura jamais véritablement laissé fonctionner...

Cuba, Février-Mars 2017

Une terre de révolutions

logo3.png
bottom of page